CURRICULAMILENARA

J make operational researches, what appropriated educational system of formation and curriculum for the Sustainable Development and Sustained economic growth. At day, there is a new revolution with NTIC… This Millenium Curriculum is a whole of planned values, finalities, objectives and contents. It has the characteristics of Regulating Management.

Monday, December 26, 2011

CONTRIBUTION :TRAJECTOIRE VERS Rio + 20 : Recadrage institutionnel et Société civile africaine

APPEL A CONTRIBUTION DE
M. Babacar NDIAYE
Chercheur, Expert / Société civile

Adresse : BP 37171, CP 13522 Dakar / Sénégal ; Tél : +221 77 539 47 35 ;
E-mail : curricula_milenara@yahoo.fr

Séminaire de l’Association française Adéquations du 30 Janvier 2012 sur le thème : « Economie « verte », crise financière, greenwashing ? Quelles marges de manœuvre pour une transition vers un Développement Durable ? ».
Adresse : Adéquations C /o Maison des associations 206 Quai Valmy 75010 Paris ;
Tél : 01 46 07 04 94 ; Site : www.adéquations.org


Notre Contribution à ce Séminaire d’Adéquations, en tant qu’Expert de la Société civile africaine de l’Education et du Développement, nous permet d’apporter notre acte contributif vers les enjeux de la Conférence mondiale des Nations Unies sur le Développement Durable « Rio + 20 » qui se tiendra du 20 au 22 juin 2012 à Rio et les positionnements d’organisations et individualités de la Société civile sur les questions économiques, financières, sociales et écologiques.


Dakar, Sénégal, le 26 Décembre 2011


Titre : TRAJECTOIRE VERS Rio + 20 : Recadrage institutionnel et Société civile africaine

SOMMAIRE :

I- Introduction

II- Observations politiques

III- Observations institutionnelles

IV- Observations internationales

V- Recommandations et perspectives

VI- Annexe : Note biographique de l’auteur





TRAJECTOIRE VERS Rio + 20 : Recadrage institutionnel et Société civile africaine

I- Introduction

PARADOXES ET DILEMMES DANS LE DEVELOPPEMENT DURABLE ET LA CROISSANCE ECONOMIQUE SOUTENUE (DD / CES) DE L’AFRIQUE !!!
Quel est l’impact des ces Grandes Conférences internationales sur la Pauvreté monétaire et la Pauvreté Absolue en Afrique ?
Expert Consultant et Secrétaire Général de l’Association écologiste BIOFORCE – VB, je viens de participer à la 3ème Edition de la Foire Sous - régionale des Semences Paysannes de l’Association sénégalaise des producteurs de semences paysannes (ASPSP) dont le Thème : « la conservation des semences et des récoltes » au village de Djimini, Département de Vélingara, Région de Kolda / SENEGAL, du Samedi 19 au Mercredi 23 Novembre 2011.
Rio + 20 est marquée par un contexte de crise et d’insécurité alimentaire en Afrique. Au Sénégal, les semences paysannes et la biodiversité jouent un rôle fondamental dans la croissance économique du secteur agricole avec notamment :
• 60 % de la population rurale sont employées par le secteur,
• 7,5 % du PIB et 55 % des exportations (ANDS, 2009),
• les céréales occupent une place importante dans l’alimentation de base des sénégalais (en riz).
De fait, le Séminaire de l’Association française Adéquations sera organisé le 30 Janvier 2012 sur le thème : « Economie « verte », crise financière, greenwashing ? Quelles marges de manœuvre pour une transition vers un Développement Durable ? ».
Notre Contribution à ce Séminaire d’Adéquations, en tant qu’Expert de la Société civile africaine de l’Education et du Développement, nous permet d’apporter notre acte contributif vers les enjeux de la Conférence mondiale des Nations Unies sur le Développement Durable « Rio + 20 » qui se tiendra du 20 au 22 juin 2012 à Rio et les positionnements d’organisations et individualités de la Société civile sur les questions économiques. L’ordre du jour officiel avec la Conférence des Nations Unies demeure la définition d’une « Economie verte » et d’une « Gouvernance du Développement Durable ».
Sur ce, je vais formuler quelques observation sur le plan politique, institutionnel et international et faire des recommandations et perspectives.
La Société civile africaine sera à Rio + 20 en Juin 2012 pour faire un recadrage institutionnel pour atténuer la pauvreté chronique dans les campagnes et villes de l’Afrique subsaharienne.
C’est Gallilé qui disait en 1642 : « On ne peut rien enseigner à autrui. On ne peut que l’aider à le découvrir lui – même. »

II- Observations politiques

En 2005, j’ai essayé, dans le cadre de mon implication officielle à toutes les questions ouvertes à la Société civile sur le Développement Durable et la Croissance Economique Soutenue (DD / CES), de répondre à une question d’actualité : POLITIQUE MONETAIRE OU POLITIQUE FINANCIERE : Laquelle en Afrique ?
Le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (UNEP) définit l’Economie verte comme : « une économie qui engendre une amélioration du bien – être humain et de la justice sociale tout en réduisant sensiblement les risques environnementaux et les pénuries écologiques ». Professionnellement, je comprends parfaitement cette définition simpliste de mes amis du PNUE. Dans mes participations à l’UNESCO (sur les sciences et les politiques éducatives) et récemment à la Conférence de Haut Niveau PNUD – UNITAR, j’ai toujours réitérées que l’Université n’a plus le monopole du savoir. La Convention 1966 de l’UNESCO ne fait pas de discrimination entre les enseignants de la Société civile de l’éducation, du Secteur privé et de la Fonction publique. Techniquement, en tant citoyen d’un pays africain (le Sénégal) membre de l’ONU, logiquement, j’en déduis la Pédagogie de l’intégration « Approche Nations Unies » pour cette définition du PNUE. Le Secrétariat de la Conférence mondiale des Nations Unies sur le Développement Durable « Rio + 20 » qui se tiendra du 20 au 22 juin 2012 à Rio va certainement intégrer mes dires en parfaite adéquation avec l’adoption par l’Assemblée Générale (ONU) en 2001 des travaux de la Commission de la fonction publique internationale (CFPI) des normes de conduite dans l’Administration publique des Etats membres. (…)
Pour revenir sur les défis de la souveraineté alimentaire, la problématique du thème principal de la 3ème Foire d’échange sous-régional des semences paysannes et de la biodiversité « La conservation des semences et des récoltes » est d’une préoccupation ultra-stratégique située à 03 niveaux :
 La conservation semencière,
 La mise en place de banques de gènes,
 La menace des OGM.
La politique semencière doit nécessairement passer par la sélection d’abord, privilégier le local, assurer la disponibilité et la multiplication et enfin la distribution à un niveau Echelon Villageois. Des cohérences nationales qui permettrons de lutter contre la pauvreté rurale, l’autonomisation des femmes du terroir villageois et l’urbanisation sauvage des grandes capitales.
L’Association écologiste BIOFORCE-VB que j’ai représentée à cette 3ème Foire d’échanges sous-régionale des semences paysannes et de la biodiversité a toujours œuvré à la mise à disposition des semences forestières pour les paysans et dans les terroirs. De ce principe, nous sommes confrontés au monopole de la Direction Nationale des Eaux et Forêt pour les essences forestières. Avec la non budgétisation, les Eaux et Forêt procèdent par Approche Projet. En plus, la Stratégie Nationale de Conservation de la Biodiversité (SNCB) est cordonnée par les Eaux et Forêt malgré leur statut d’Agents militaires.
L’objectif dans la conservation des semences forestières est de lutter contre la pauvreté en milieu rural, éliminer l’insécurité alimentaire, améliorer la compétitivité des exploitations agricoles rurales (les Micro Entreprises Rurales – MER). Et dans la dynamique des filières, la mise en place des entreprises semencières rurales prendra en charge la production, l’utilisation, le transport, les banques etc… Avec la capitalisation d’expériences de BIOFORCE-VB dans la production des essences forestières, des opportunités se posent pour l’Agence Nationale de la Grande Muraille Verte, l’Agence Nationale pour la Reconstruction des Activités en Casamance (ANRAC), les aménagements hydro-agricoles de la SODAGRI et de la SAED et en cohérence dans la vision semencière de l’ASPSP.
Et, comme les principes du Déloppement Durable sont transversaux, son intégration dans le cycle des politiques exige une harmonisation avec toutes les entités gouvernementales aux niveaux national et infranational.

III - Observations institutionnelles

Pour montrer la nécessité d’une Cohérence dans les différentes institutions, prenons toujours le cas pratique de notre participation à la 3ème Edition de la Foire Sous - régionale des Semences Paysannes au village de Djimini, Département de Vélingara, Région de Kolda / SENEGAL, du Samedi 19 au mercredi 23 Novembre 2011. Parce que cette zone, la région de la Casamance c’est la « Banque Nationale verte du Sénégal ».
Notre caravane est arrivée à Vélingara le Samedi 19 Novembre 2011 vers 11heures mais notre bus aura des difficultés de rejoindre le village de Djimini. Les Grands déficits en infrastructures sociales, économiques, financières et non financières dans le développement de la production et des compétitivités du secteur agriculture, surtout dans les pays au sud du Sahara, depuis les PAS (Plans d’Ajustement Structurels) , en passant par les OMD (ONU) et les DSRP (Documents de Stratégie de Réduction de la Pauvreté), ont presque triplé la pauvreté absolue et la pauvreté monétaire.
En référence à la 28ème Journée Mondiale de l’Alimentation (JMA, édition 2008), dont le thème : « Sécurité alimentaire mondiale : les défis du changement climatique et des bioénergies », s’était tenue à Anambé / Département de Vélingara / Région de Kolda les 16 et 17 octobre 2008. Membre du Comité National d’Organisation (CNO / JMA), la Conférence scientifique tenue le 16 0ctobre 2008 au Centre de Formation d’Anambé s’inscrivait toujours dans la mouvance d’un plaidoyer soutenu pour les semences paysannes et la biodiversité agricole. La biodiversité a toujours demeuré la base alimentaire de la population mondiale.
Selon la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’Agriculture et l’Alimentation), une grande diversité recueillie dans le passé est menacée d’extinction. C’est dans cette logique, que la Conférence de la FAO, regroupant 180 nations, a adopté le Traité internationale sur les ressources phylogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture (TIRPAA), une convention internationale destinée à organiser la gestion de la biodiversité agricole à l’échelle de la planète.
Mais avec l’uniformisation et la marchandisation du tout vivant, l’aspect Droits de l’Homme de 3e Génération, les droits des agriculteurs, est affirmé dans la Charte des paysans depuis 1979 et reconnut dans le cadre du TIRPAA adopté en 2001 sous les auspices de la FAO. Le TIRPAA est le premier texte contraignant qui reconnait formellement les droits des agriculteurs y compris leurs droits à la semence de ferme. Contrairement à la Convention de l’Union internationale pour la protection des obtentions végétales (UPOV) qui limite le droit des agriculteurs au privilège du fermier.
Les régions de Ziguinchor et de Kolda enregistrent les taux de pauvreté les plus élevés au niveau national : respectivement 67,5 % et 66,5 % (DPS et Banque mondiale – ESAM II, 2001 / 2002). Durant cette année 2010- 2011, la crise et l’augmentation des prix des denrées alimentaires ont jeté prés de 70 millions de personnes dans l’extrême pauvreté, selon la Banque mondial. Et la disparition des semences paysannes et de la biodiversité pourraient hypothéquer l’existence des populations locales.

En référence aussi à un autre cas opérationnel, Expert partenaire de la Coopérative des Ouvriers du Bâtiment (COB), ayant initié la Manifestation d’intérêt et la Demande de Proposition technique et financière pour l’élaboration des Plans Locaux de Développement (PLD) pour les Départements de Kolda et de Vélingara notamment les collectivités locales de Kolda – Kounkané – Vélingara – Sinthian Koundara – Saré Yoba – Thiétty – Saré Coly Sallé – Némataba – Kandiaye - Kandia au profit de Monsieur le Ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales S / C Monsieur le Secrétaire Exécutif du Programme National de Développement Local (PNDL) / République du Sénégal sis au 5eme étage de l’Immeuble de la Caisse de Sécurité sociale 5, avenue Carde, Dakar Etoile / Sénégal – V/Réf : N°1647 MDCL / PNDL / SE / SPM du 17 Aout 2010 à Dakar / Sénégal.

L’objectif principal du PNDL est de contribuer à la réduction de la pauvreté à travers l’action combinée des départements ministériels, collectivités locales, des communautés de base et du secteur privé pour promouvoir, de façon efficace, efficiente et durable, l’offre de services socio-économique de base aux populations les plus pauvres dans le cadre des politiques de décentralisation et de développement local. En d’autres termes le PNDL vise la responsabilisation des collectivités locales et le renforcement de la participation des populations, conformément à la politique de décentralisation de l’Etat consolidée par la loi 96-06 du 22 mars 1996 portant code des collectivités locales et par la loi 96-07 du 22 mars 1996 portant transfert de compétences aux régions, aux communes, aux communautés rurales dans neuf (9) domaines. Parmi ces domaines de compétences figure la « Planification » locale dont les collectivités locales assurent la maitrise d’œuvre.
La planification locale est née de la nécessité de mieux prendre en charge les besoins des populations des collectivités locales et de rendre plus efficace leur apport au développement local. Son rôle est de prendre en compte des réalités de besoins qui ne peuvent être correctement appréhendés par les niveaux régional et national.
Cette antériorité tangible à notre participation à cette 3ème Foire d’échange sous-régional des semences paysannes et de la biodiversité de Djimini confirme notre ferme volonté à responsabiliser pleinement les collectivités locales de la région de Kolda et de favoriser les aptitudes à l’auto-développement. Ainsi pour réaliser cette condition essentielle à la réussite du programme, l’ensemble des investissements locaux devra être planifié suivant un processus participatif de planification décentralisé de manière à assurer une plus grande efficacité, équité et transparence. Dans le contexte d’urbanisation exponentiel, la tension induite par les divergences d’intérêts entre producteurs et consommateurs pose des problèmes importants d’arbitrage politique pour les décideurs institutionnels.

IV - Observations internationales

En intégrant les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) N°7 et N°8, la Coopération international ne peut ignorer l’alerte en Approche RRC de la Banque mondiale : « En considérant le monde dans son ensemble, on occulte le fait que l’Afrique subsaharienne ne sera pas en mesure d’atteindre l’objectif de la pauvreté monétaire » - Cf. : Rapport sur le développement dans le monde 2004 – « Des services pour les pauvres », Banque mondiale
Ainsi, faisant face à la hausse généralisée des prix des denrées alimentaires et le déficit hydrique de la campagne agricole 2010 – 2012 en Afrique de l’Ouest et dans le Sahel, l’engagement de la Communauté internationale a été rappelé :
- En 2009, lors du Sommet de l’Aquila, les dirigeants du G8 se sont engagés à augmenter l’aide pour la sécurité alimentaire de 20 milliards de dollars en 3 ans ;
- En Avril 2011, le Dakar Agricole a donné les grandes orientations pour réformer la gouvernance alimentaire mondiale et gérer la volatilité des prix ;
- Le 19 octobre 2011 à Rome, la rencontre du Groupe de travail International à Rome pour proposer des solutions et stratégies relatives à la gestion de la volatilité des prix.

V - Recommandations et perspectives

La Coopération internationale a intérêt à renforcer la souveraineté des Etats et des acteurs africains en matière de négociations commerciales et d’investissements soutenables pour une sécurité et une sûreté de la Gouvernance mondiale.
Concernant les politiques commerciales dans l’UEMOA et la CEDEAO, j’ai toujours soulignées les préalables concernant la gouvernance et le marché financier régional (Lois sur les CENTIF de l’UEMOA), les TPE/ GIM UEMOA depuis 2003 – 2004 que les Acteurs et Opérateurs de Développement n’utilisent presque pas. En matière de Private Finance Initiative (PPP), il serait important d’intégrer les Acteurs et Opérateurs de Développement dans les Observatoires et les Conseils d’infrastructures. Même avec la loi PARMEC / UEMOA, les Acteurs et Opérateurs de Développement utilisent régulièrement au niveau de la CEDEAO les financements et circuits monétaires non institutionnels. Et en dernier ressort, le droit communautaire n’a pas encore résolu le problème des systèmes LMD / UEMOA / CEDEAO et l’échange de fonctionnaires.
Rio + 20 en Juin 2012 doit fondamentalement résoudre une Discrimination de Droits Humains Durables : QUE LES BOURSES DE COOPERATION INTERNATIONALE REVIENNENT AUX VERITABLES ACTEURS DE DEVELOPPEMENT ET OPERATEURS DE TERRAINS EN AFRIQUE ! En matière de Développement Propre, l’Afrique n’arrive à utiliser que moins de un pour cent (- 1 %) des financements internationaux disponibles. Pire, l’Afrique manque de Compétences émergentes nées du Développement Durable, particulièrement en Approche TQ PRR (Techniques Quantitatives en Potentiels de Recherche Réelle).
Depuis 2009, mon Projet de Recherche Internationale appliquée en cours, sur les Nouvelles Technologies Propres de l’Environnement – NTPE- et les MDP (Mécanismes de Développement Propre)- pour l’investissement soutenable, le Développement durable et la Croissance économique soutenue (DD/CES) en tant que Chercheur Prometteur - GROUPE DE LA BANQUE ISLAMIQUE DE DEVELOPPEMENT (BID) / UNIVERSITE DE CANBERRA EN AUSTRALIE / GOUVERNEMENT AUSTRALIEN (…) a connu quelques difficultés de procédures dans la transmission inter-institutions.
Maintenant, avec les crises internationales successives (Affaires PARMALAT, ENRON, les victimes de l’Empire financier Bernard Madoff chiffrés à environ 800 millions de dollars, les Subprimes aux USA, la hausse des prix des denrées alimentaires, les refugiés climatiques etc…), on privilégie les Indicateurs de valeurs. Il y a la valeur des personnes qui est différente de la valeur monétaire. Les gens ont tendance à utiliser les monnaies alternatives en dehors des monnaies conventionnelles mis en place par les Etats. Le FMI, en tant que « Gendarme monétaire international » doit intégrer ses nouvelles donnes en parallèle avec les DTS (Droits de Tirage Spéciaux). L’avenir, c’est les valeurs qui ne sont pas mesurables. Ce n’est plus les indicateurs IOV que les financiers et les monétaristes classiques utilisent.
Logiquement, les acteurs et opérateurs de la Société civile mondiale démontrent qu’on est dans un monde alternatif avec une nouvelle pensée économique libre. Le Brésil vient de la démontrer avec « la monnaie verte » où on arrive à prendre en charge le recyclage des déchets, le transport et le chômage.
Certainement Rio + 20 va être obligée d’intégrer les 03 concepts SLM (Social – Local – Mobile) que les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) et l’Afrique développeront les années à venir avec les TIC. Avec l’Approche SLM, nous passons d’une révolution sociale à une révolution organisée avec les TIC (Printemps arabes, réseaux sociaux, révolution Facebook etc…)
Les partenaires de développement internationaux peuvent jouer un rôle important en facilitant l’intégration des enjeux de la Conférence mondiale des Nations Unies sur le Développement Durable « Rio + 20 » qui se tiendra du 20 au 22 juin 2012 à Rio et les positionnements d’organisations et individualités de la Société civile sur les questions économiques, financières, sociales et écologiques. Et l’Approche Intégrée Droits de l’homme (AIDH) aux flux de capitaux attendus à Rio + 20 pourront être bénéfiques, équitablement et écologiquement au moins à trois choses :
1°) La croissance économique durable ;
2°) La redistribution équitable des revenus et surtout ;
3°) l’inclusion sociale et sociétale.

VI - Annexe : Note biographique de l’auteur

Quelques références sur l’auteur

Babacar NDIAYE, Expert de la Société civile de l’Education et du Développement, a participé aux travaux de réflexion suivants :
• Membre de l’Atelier N°2 sur « Les axes stratégiques de l’intégration sous-régionale, les éléments essentiels constitutifs des TDR du Comité de rédaction des positions nationales et en dernier lieu le profil des consultants » - Atelier National des Acteurs Non Etatiques (ANE) sur l’Accord de Partenariat Economique (APE), du 06 au 07 Juillet 2004 au CESAG de Dakar / Sénégal – CONGAD / UNION EUROPENNE / Enda Equipe Syspro 2 ;
• Membre du Groupe de travail N°2 « Production et Diffusion d’informations » - FIDAFRIQUE / Réseau Régional d’informations du FIDA (Fonds International de Développement Agricole) sur le Développement Rural et la Lutte contre la Pauvreté. En Partenariat avec le Bureau des Nations Unies pour l’Appui aux Projets et Programmes (UNOPS Dakar), Atelier de démarrage, Hôtel Novotel, Dakar / Sénégal, du 07 au 09 Juillet 2004- FIDAFRIQUE / FIDA ;
• Participation- Journée de réflexion sur : « Les femmes rurales dans les programmes de lutte contre la pauvreté » - Organisé par l’ASELFAE (Association Sénégalaise pour le leadership des Femmes dans l’Agriculture et l’Environnement), Réseau AWLAE.
Le 15 juillet 2004 à la Piscine olympique nationale de Dakar / Sénégal – AFDS (Agence du Fonds de Développement Social- Sénégal) / ANCAR (Agence nationale pour le Conseil agricole et rural) / PNIR (Paragramme national d’infrastructures rurales – Sénégal) / PROGEDE (Programme de gestion durable et participative des Energies Traditionnelles et de Substitution) / UNIFEM / POGV (Projet d’Organisation et de Gestion Villageoise) ;
• Invitation de la Fédération Sénégalaise des Sociétés d’Assurances (FSSA) – Séminaire sur le Thème : « Développement de la Retraite complémentaire : Pilotage et Outils de Gestion », du 26 au 28 Juillet 2004 à l’hôtel Savana de Dakar / Sénégal;
• Membre du Groupe de travail des pays du Sahel (Burkina Faso, Mauritanie, Niger, Sénégal et Tchad) - Atelier Régional du Programme Panafricain de Contrôle des Epizooties (PACE) sur « l’optimisation des systèmes de surveillance épidémiologique des 30 pays membres », du 23 au 26 Août 2004 au Ministère des Affaires étrangères de Dakar / Sénégal – MAEH SENEGAL, Cabinet du Ministre délégué chargé de l’Elevage / UNION AFRICAINE / PACE / UNION EUROPENNE ;
• Participation - Quatrième Conférence internationale des produits naturels africains issus des plantes - Association Education Santé (AES) / Sénégal et ASNAPP (Agri business in Sustentateur Naturel Africain Plants Products) du 25 au 27 Août 2004 à Dakar / Sénégal ;
• Participation – Matinée de Réflexion sur « Les problemes liés à la démarche qualité et l’importance de la métrologie dans la pêche industrielle », dans le cadre de la Mission de l’Office Alimentaire et Vétérinaire de la Commission Européenne, le 03 Septembre 2004 au Novotel de Dakar / Sénégal – Direction des Pêches Maritimes, Ministère de l’Economie Maritime Sénégal;
• Participation – Atelier dialogue National sur le Fonds pour l’Environnement Mondial (Fond Environmental Global – Country Dialogue Workshops Programme), du 27 au 29 Septembre 2004 au Novotel de Dakar / Sénégal – DEEC MEPN SENEGAL / PNUE / BANQUE MONDIALE / PNUD / FEM ;
• Participation - Atelier National de Validation du Cadre réglementaire sur la Biosécurité « Projet Biosécurité CF / 2726 – 02 – 4388, Direction des Parcs Nationaux / MEPN, PNUE, FEM », du 05 au 06 Octobre 2004 au Sofitel Teranga de Dakar / Sénégal – PNUE / DPN MEPN SENEGAL / FEM ;
• Expert Membre de la Commission I – Thème 1 : « Mécanismes durables de Mobilisation des Ressources Financières pour la Mise en Œuvre de l’Initiative Environnementale du NEPAD » - Conférence Ministérielle sur les Mécanismes de Mobilisation des Ressources Financières pour l’Initiative Environnementale du NEPAD « Domaine d’intervention N°4 : la conservation et l’utilisation durable des ressources marines et côtières », Réunion des Experts du 12 au 13 Octobre 2004 au Sofitel Teranga de Dakar / Sénégal, Programme GIRMAC (Gestion Intégrée des ressources Marines et Côtières) MEPN et MEM SENEGAL / NEPAD / PGIES SENEGAL ( Projet de Gestion Intégrée des Ecosystèmes ) du MEN, PNUD et FEM ;
• Membre du Groupe de travail N°1 sur le thème 3 « Assurer l’approvisionnement en sel iodé » et le thème 4 « Monitorage de la qualité du sel iodé et du statut en iode de la population » et en second lieu du Groupe de travail francophone sur le thème 6 « Bâtir des coalitions nationales et régionales pour la pérennisation de l’élimination des TDCI à travers l’IUS ? » - WEST AFRICAN CONSULTATION : « Accelerating Progress towards Universal Salt Iodisation in West Africa – CRITICAL TIME ”, du 19 au 21 Octobre 2004 au Méridien Président de Dakar / Sénégal – REDCI (Réseau pour l’Elimination Durable de la Carence en Iode) / CEDEAO / WAHO (Organisation Ouest – africain de la Santé)
• Expert de l’Institution Nationale des Droits de l’Homme – Atelier National sur le Thème : « La Pauvreté, perçue comme une violation des droits Humains » - Organisé par le Haut Commissaire aux droits de l’Homme et à la Promotion de la Paix au Sénégal, le secteur des sciences Sociales et humaines de l’UNESCO Paris et l’Unité Régionale pour les Sciences Sociales et humaines de l’UNESCO Dakar.
Du 25 au 27 Octobre 2004 au Novotel Dakar / Sénégal – Ministre Haut Commissaire aux Droits de l’Homme et à la Promotion de la Paix – Présidence de la République du Sénégal / UNESCO ;
• Participation - Séminaire de Formation sur les Droits de propriété intellectuelle du 27 au 28 Octobre 2004 à Dakar – Ministère du Commerce, SENEGAL / USAID ;
• Expert Membre du Groupe de travail N°2 de la Commission Agroalimentaire / Session des Experts – Conférence sous – régionale sur l’Amélioration de la Performance industrielle et de la Promotion de l’Emploi en Afrique de l’Ouest – Mise en œuvre du Volet Développement industriel du NEPAD (Initiative pour le renforcement des capacités productives en Afrique), du 03 au 04 Novembre 2004 au Méridien Président de Dakar / Sénégal, Ministère de l’Industrie et de l’Artisanat au Sénégal / NEPAD / ONUDI / OIT / BIT /CEA / CEDEAO / UEMOA / BOAD / BID ;
• Participation – Atelier National sur la « Restitution de l’Etude sur le Potentiel des PPP (Partenariats Public Privé) au Sénégal », le 09 Novembre 2004 au Sofitel Téranga de Dakar / Sénégal – APIX / Présidence de la République du Sénégal et USAID ;
• Expert Participant – AFRICA WORLD BUSINES CONGRESS – du 16 au 19 Novembre 2004 au Méridien Président de Dakar / Sénégal – REPUBLIQUE DU SENEGAL / NEPAD / ITE / AFRICA 2005 / UNIDO / APIX SENEGAL/ CNP SENEGAL/ CNES SENEGAL ;
• Expert Participant – Conférence Internationale sur : « INSURACE AND SAFETY OF MARITIME FACILITIES » – le 19 Novembre 2004 au Sofitel Téranga de Dakar / Sénégal – CEDA (Central Dredging Association) – African Section / PORT AUTONOME DE DAKAR - SENEGAL ;
• Expert Participant / Forum Mondial WASH (Water, Sanitation and Hygiene) du 29 Novembre au 03 Décembre 2004 à Dakar / Sénégal, MINISTERE DE LA PREVENTION, DE L’HIGIENE PUBLIQUE ET DE L’ASSSAINISSEMENT – WSSC (Conseil Mondial de Concertation pour l’Approvisionnement en Eau) ;
• Observateur – 36e Assemblée générales annuelle de l’Association des compagnies aériennes africaines (AFRAA)- Réf. Invitation= 157 /181/ 36th AGA/Christian Folly-Kossi Secretary General – du 06 au 07 Décembre 2004 à Dakar / Sénégal – AFRICAN AIRLINES ASSOCIATION ;
• Membre du Groupe de travail n°2 sur « Le renforcement du système d’information (accès au centre d’échanges pour la prévention des risques biotechnologiques) et « le renforcement des capacités nationales pour la sensibilisation et la participation du public » / Atelier national sur les OGM et la Biosécurité, du 23 au 24 Mars 2005 à Dakar / Sénégal. PNUE / MEPN-DPN / FEM ;
• Membre / Focus Groupes de la Banque mondiale sur les problèmes de l’accès à l’information, du 08 Avril 2005 à Dakar / Sénégal ;
• Invitation à la 9e Session extraordinaire du Conseil d’Administration du PNUE / Forum Mondial sur l’Environnement et rencontres associées du 04 au 09 février 2006 à Dubaï / Emirats Arabes Unis- PNUE / THE GOVERNMENT OF UNITED ARAB EMIRATES ;
• Observateur – 16e Assemblée générale de l’OMT (Organisation Mondiale du Tourisme) / ONU, 25 novembre – 02 décembre 2005 à Dakar / Sénégal ;
• Expert Participant – Revue annuelle conjointe 2007, PEPAM (Programme d’Eau potable et d’Assainissement du Millénaire), du 26 au 28 juin 2007 à Dakar / Sénégal, MINISTERE DES INFRASTRUCTURES, DE L’HYDRAULIQUE URBAINE ET DE L’ASSAINISSEMENT / MINISTERE DE L’HYDRAULIQUE RURALE, DU RESEAU HYDRAUGRAPHIQUE NATIONAL ET DES BASSINS DE RETENSION ET DES LACS ARTIFICIELS / WSP / SONES / DRH / DEM / ONAS / DA ;
• Invitation Conférences Aériennes Françaises (CAF) – WORLD AIR TRANSPORT FORUM, du 15 au 19 Octobre 2007 à CANNES- Hilton / France
Réf : lettre d’invitation / CAF / Director of The World Air transport Forum du 25 Juillet 2007 à Paris / France ;
• Invité par la TNCPEB (Table nationale de concertation et de partenariat pour l’éducation de base)/ République du Sénégal a assisté à la Revue de Politique nationale de l’Education et de Protection de la Petite enfance – Equipe de mission de revue au Sénégal du mardi 23Octobre 2007 à 9h au BREDA / UNESCO ;
• Membre du Groupe de travail sur « les maladies liées à l’eau » à la 3e Conférence internationale Annuelle sur l’Initiative de Développement des Académies sur le thème : « Eau et Santé en Afrique au Sud du Sahara », ASADI 3 du 11 au 15 Novembre 2007 à Dakar / Sénégal – ANSTS (Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal) / MINISTERE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE DU SENEGAL / TWAS (Académies des Sciences du Tiers Monde) / US-NAS (United states – National Academy of Sciences) ;
• Membre du Groupe de travail Cadre spécifique – Atelier unique : « Décentralisation, Développement local et Budget participatif / décentralisation et Partenariat public privé / genre et Décentralisation » lors des 1 ères Assises de la Décentralisation du 27 au 29 novembre 2OO7 à Dakar / Sénégal, Ministère de la Décentralisation et des Collectivités locales / République du Sénégal ;
• Expert Participant – Séminaire international sur « Développement local, Gouvernance territorial : Enjeux et Perspectives », du 16 au 18 Janvier 2008 à Dakar / Sénégal, GROUPE GERAD ;
• Membre du Groupe de travail n°1 « Gestion des Inondations » et du Groupe de travail n°1 « Gestion Volet logistique » / Atelier d’actualisation du Plan de Contingence National, du 09 au 11 juin 2009 à Dakar / Sénégal – MINISTERE DE L’INTERIEUR ET DES COLLECTIVITES LOCALES ET DE LA DECENTRALISATION / Direction de la Protection Civile / Projet d’Appui au Programme National de Prévention, de réduction des Risques majeurs et de la gestion des Catastrophes naturelles au Sénégal dans le contexte de réduction de la pauvreté (PAPNGCN) / PNUD ;
• Expert Membre du Groupe de Travail – Axe 04 : « Bonne Gouvernance et développement décentralisé et participatif » - Atelier de validation technique du Rapport de synthèse de revue conjointe 2OO9 DSRP II du 29 au 30 juin 2009 à Dakar : Sénégal, CSPLP – MEF / UNDP / CSPLP – MFEFMEPE ;
• Expert Membre du Groupe de travail francophone / BIOTECHNOLOGIE & BIOSECURITE, Atelier de renforcement de capacités en biotechnologie et biosécurité pour les régulateurs et les formateurs, du 08 au 10 Juillet 2009 à Dakar / Sénégal, UCAD / ED-SEV, USDA, MICHIGAN STATE UNIVERSITY, NEPAD ;
• Membre de la Commission Organisation RIC Dakar 2011 – RENCONTRE INTERNATIONALE SUR LES COOPERATIVES (RIC Dakar 2011) - Thème : « COOPERATIVES ET MUTUELLES dans le développement économique et social au Sénégal et dans le monde », du mercredi 23 au jeudi 24 Mars 2011 à Dakar / Sénégal.
CSCM (Confédération Sénégalaise des Coopératives et Mutuelles) / SOCODEVI (Société de Coopération pour le développement international) / RESOPP (Réseau des Organisation paysannes et pastorales du Sénégal) / ONG Belge adg / MINISTERE DE L’AGRICULTURE, Direction de l’Agriculture – Bureau de Suivi des Organisations d’Autopromotion (BSOAP) – République du Sénégal.

Adresse : BP 37171 Dakar / Sénégal ; Tél : (221) 77 539 47 35 ;
E-mail : babacar1ndiaye@gmail.com











« Etre patriote, c’est savoir où placer l’axe moral de votre acte » B. NDIAYE
« Etre citoyen, c’est savoir où placer l’axe moral de votre acte » B. NDIAYE

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