Impossible de réaliser les principes du Développement Durable sans intégrer les générations futures !
Le conflit entre la Banque mondiale et le Gouvernement tchadien sur la gestion des fonds de l’argent du pétrole pour les générations futures logés dans un compte spécial au niveau de la Banque centrale. J'ai toujours prédit ces genres de problèmes dans mon étude de 1998 – ETUDES ET RECHERCHES ORGANISATIONNELLES – avec le consultant principal des Parties sur l’observation et l’évolution des projets liés à l’exploitation du pétrole (Tchad, Cameroun, Banque mondiale). Moi à l’époque, je parlais de Monitoring durable mais lui, il s’agit « des actions de gestion et de monitoring pérennes, et sur la gestion des premiers revenus pétroliers rapatriés au niveau de l’administration ».
Le paradoxe, c’est un problème que je discute souvent avec de jeunes tchadiens qui sont à Dakar, parfois dans les locaux même de la Banque mondiale. Seulement, nous venons chercher l’InfoDev de la Banque.
Ce genre de conflit risque de porter préjudice aux pays de l’Afrique de l’Ouest où la plupart de leurs gisements physico- géochimiques du précambrien et du cambrien ne sont pas encore exploités. Parce que l’exploitation nécessite une Approche PPP (Partenariats Public Privé) très coûteuse en terme de $ US ou €.
Pour résoudre l’exemple des jeunes mercenaires à l’Ouest de la Côte d’ivoire, il faudrait mener une analyse transversale entre la situation des jeunes latino-américains de retour des USA qui sont extrêmement cruels, les jeunes dans l’Union Européenne, les jeunes russes qui attaquent les étudiants étrangers …
L’extrême précarité et l’extrême vulnérabilité des jeunes générations africaines ainsi qu’à celles des autres parties du monde ne doivent pas leur pousser à renoncer de leur capacité entrepreneuriale. L’exemple de l’Homme méritant du M = mc2 est bien réel.
« L’aspect le plus étonnant des réalisations d’Einstein n’est pas ce qu’il a fait mais comment il est parvenu. Il n’avait à sa disposition aucun moyen dont dispose la recherche scientifique traditionnelle : aucun laboratoire, aucun collaboration, aucune équipe de travail, pas de bourse de recherche. Il travaillait dans un bureau, muni d’un crayon et de papier. Son seul outil était sa pensée. Ce qui tient du miracle, c’est que cet outil, appliqué à une maîtrise des connaissances, est suffisamment puissant pour pénétrer les secrets de la nature. Einstein lui – même n’employait pas souvent le terme « miracle » et ne l’aurait certainement pas appliqué pour ses propres contributions. Pourtant, en 1936, dans un article intitulé Physique et réalité, il écrivit : « le mystère éternel du monde, c’est son intelligibilité […] Le fait qu’il soit intelligible est un miracle. » Il y a une leçon à tirer pour notre génération ». Ces dires sont de Hans Christian von Baeyer, Professeur de physique, Expert en théorie de l’énergie in Chronique ONU – N°2, 2005, page 66 – 68.
En Afrique de l’ouest, les jeunes sont en train de cumuler des « Gigatonnes » de diplômes, des chercheurs institutionnels gardent en secret leurs meilleurs inventions faute de propriétés intellectuelles, la recherche fondamentale n’est plus financée, les groupes vulnérables n’écoutent plus les « grands intellectuels », à vous de voir le point géodésique du développement durable et de le croissance mondiale acceptable du droit au développement et des droits humains.
Babacar NDIAYE
Duralogue
Le paradoxe, c’est un problème que je discute souvent avec de jeunes tchadiens qui sont à Dakar, parfois dans les locaux même de la Banque mondiale. Seulement, nous venons chercher l’InfoDev de la Banque.
Ce genre de conflit risque de porter préjudice aux pays de l’Afrique de l’Ouest où la plupart de leurs gisements physico- géochimiques du précambrien et du cambrien ne sont pas encore exploités. Parce que l’exploitation nécessite une Approche PPP (Partenariats Public Privé) très coûteuse en terme de $ US ou €.
Pour résoudre l’exemple des jeunes mercenaires à l’Ouest de la Côte d’ivoire, il faudrait mener une analyse transversale entre la situation des jeunes latino-américains de retour des USA qui sont extrêmement cruels, les jeunes dans l’Union Européenne, les jeunes russes qui attaquent les étudiants étrangers …
L’extrême précarité et l’extrême vulnérabilité des jeunes générations africaines ainsi qu’à celles des autres parties du monde ne doivent pas leur pousser à renoncer de leur capacité entrepreneuriale. L’exemple de l’Homme méritant du M = mc2 est bien réel.
« L’aspect le plus étonnant des réalisations d’Einstein n’est pas ce qu’il a fait mais comment il est parvenu. Il n’avait à sa disposition aucun moyen dont dispose la recherche scientifique traditionnelle : aucun laboratoire, aucun collaboration, aucune équipe de travail, pas de bourse de recherche. Il travaillait dans un bureau, muni d’un crayon et de papier. Son seul outil était sa pensée. Ce qui tient du miracle, c’est que cet outil, appliqué à une maîtrise des connaissances, est suffisamment puissant pour pénétrer les secrets de la nature. Einstein lui – même n’employait pas souvent le terme « miracle » et ne l’aurait certainement pas appliqué pour ses propres contributions. Pourtant, en 1936, dans un article intitulé Physique et réalité, il écrivit : « le mystère éternel du monde, c’est son intelligibilité […] Le fait qu’il soit intelligible est un miracle. » Il y a une leçon à tirer pour notre génération ». Ces dires sont de Hans Christian von Baeyer, Professeur de physique, Expert en théorie de l’énergie in Chronique ONU – N°2, 2005, page 66 – 68.
En Afrique de l’ouest, les jeunes sont en train de cumuler des « Gigatonnes » de diplômes, des chercheurs institutionnels gardent en secret leurs meilleurs inventions faute de propriétés intellectuelles, la recherche fondamentale n’est plus financée, les groupes vulnérables n’écoutent plus les « grands intellectuels », à vous de voir le point géodésique du développement durable et de le croissance mondiale acceptable du droit au développement et des droits humains.
Babacar NDIAYE
Duralogue
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