Les interrogations futurales d'un jeune cadre africain en difficultés
Pourquoi la plupart des jeunes cadres africains continuent-ils à être des chômeurs endurcis ?
Est-ce que les jeunes cadres africains hautement formés remplissent-ils les critères d’employabilité ?
Est-ce qu’il y a une réflexion approfondie avec les individualités et les différentes composantes de la société civile africaine et de la société civile internationale ?
Est-ce qu’il y a une analyse systémale approfondie avec les agents économiques créateurs de richesse du secteur privé africain et du secteur privé international ?
Est-ce qu’il y a une meilleure articulation des cadres stratégiques entre le secteur public, le secteur privé, les chercheurs solitaires et les autres composantes de la société civile ainsi qu’avec les structures de formation ?
Vu notre position de facilitateur et de médiateur, je crois que le débat est ouvert.
Et pourtant l’étude réalisée dans le cadre d’un colloque sur « la gestion des compétences et la compétitivité dans l’espace UEMOA » réuni le mardi 01 juillet 2003 à Niamey, avait révélé que : « quelques 20000 cadres quittent chaque année le continent africain pour des horizons plus prometteurs. » Actuellement, je ne sais les palliatifs de l’UEMOA mais la saignée continue de plus belle.
En définitive, j’aimerais que vous m’aidiez à faire un choix sur ces trois appellations :
Le jeune talent exilé ;
La jeune compétence exilée ; ou
La jeune compétence déportée.
Babacar NDIAYE
Chercheur en Curricula
Email international : worldleadership_2000@yahoo.fr
Adresse : B.P. 37171Dakar – Grand Yoff / SENEGAL
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