L'extrême précarité des jeunes en Afrique: quel est l'impact des grandes conférences internationales à leur faveur?
* En 1994, la Conférence Internationale sur la Population et le Développement au Caire en Egypte (CIPD94) sous l’égide des Nations Unies ;
*Le Programme d’Action mondial de la jeunesse d’ici l’an 2000 adopté en 1996 par l’Assemblée générale des Nations Unies. Il a été élaboré conformément aux vœux exprimés par les Etats au Sommet Mondial pour les enfants à New-York en 1990, dans l’objectif de guider l’action nationale et le soutien international en faveur des jeunes … ;
*Le Plan d’action de Braga adopté lors du 3e Forum mondial à Braga (Portugal) en août 1998. Elaboré et proposé par les ONG, les organisations de jeunesse et les Agences du Système des Nations Unies … mesures à prendre pour renforcer les capacités nationales dans le domaine de la jeunesse et améliorer du point de vue qualitatif et quantitatif, les possibilités offertes aux jeunes de participer pleinement à la vie de la société… ;
*La 4e session du Forum mondial de la jeunesse à Dakar après celle de New-York, Vienne et Braga. 4e forum du 05 au 10 août 2001 à Dakar avec plus de 300 représentations d’organisation de jeunesse nationales, régionales, internationales, d’ONG, les Nations Unies ;
*Le dernier Sommet Panafricain « des jeunes leaders » du 27 au 30 juin 2004 à Dakar. Sommet sous l’égide des Nations Unies avec la participation de plus de 300 jeunes ;
*La Conférence « Jeunesse, Développement et Paix (The Second Youth, Development and Peace – YDP 2004) » du 05 au 07 septembre 2004 à Sarajevo sous l’égide de la Banque mondiale en partenariat avec European Youth Forum et World Organization of the Scoot Movement ;
*Le Séminaire de la Banque mondiale à des étudiants en Inde du 10 au 11 septembre 2004.
J’ai voulu citer ces quelques références pour mettre en exergue l’urgence et l’impératif d’intégrer les hommes et les femmes des générations émergentes que nous arriverons à résoudre duralogiquement l’extrême précarité en Afrique. Principalement, j’insiste sur les trois derniers points parce que le droit au développement et les droits humains doivent profiter à tous les jeunes du monde entier sans distinction. Il faudrait une évaluation physique et une duralogie prospective dans le plus long terme pour la prise en charge des générations émergentes en Afrique. « Il est évident que les hommes politiques, les médias et l’opinion publique en général s’intéressent fort peu en général au long terme. (…) Penser le long terme (demande) un certain sens de la durée, non seulement de l’histoire humaine, mais encore de l’histoire de la Terre », disait Jacques Grinevald.
L’intégration des générations futures africaines dans les objectifs d’un développement durable et d’une croissance viable est une urgence qui interpelle tous les acteurs (institutions, organisations et individualités du secteur privé et de la société civile). D’ici les dix prochaines années, la plupart des fonctionnaires dans les Administrations africaines vont partir à la retraite. Aujourd’hui, les Etats Unis sont en train de réfléchir sur la Gestion durable des retraites, surtout avec la « génération baby boom » qui doit partir cette année à la retraite. Contrairement en Afrique subsaharienne où les mariages sont très précoces.
Il y a un dicton africain qui nous enseigne que « lorsqu’on joue du tam-tam devant un sourd-muet, il faut de temps en temps lui envoyer un coup sur le crâne. Sans quoi, il peut avoir le sentiment que vous faites des grimaces ».
For the Ragulating Competence
And the subsidiaries competences :
*Former President of Scientific Commission of the International Day of the Family 2004;
*Individual Activities of Patriotic Voluntary Program’s Initiator (IAPVP);
*Institutional Capacities Building Program’s Initiator (ICBProgram)*Líder-Actor de la Sociedad civil mondial
*Le Programme d’Action mondial de la jeunesse d’ici l’an 2000 adopté en 1996 par l’Assemblée générale des Nations Unies. Il a été élaboré conformément aux vœux exprimés par les Etats au Sommet Mondial pour les enfants à New-York en 1990, dans l’objectif de guider l’action nationale et le soutien international en faveur des jeunes … ;
*Le Plan d’action de Braga adopté lors du 3e Forum mondial à Braga (Portugal) en août 1998. Elaboré et proposé par les ONG, les organisations de jeunesse et les Agences du Système des Nations Unies … mesures à prendre pour renforcer les capacités nationales dans le domaine de la jeunesse et améliorer du point de vue qualitatif et quantitatif, les possibilités offertes aux jeunes de participer pleinement à la vie de la société… ;
*La 4e session du Forum mondial de la jeunesse à Dakar après celle de New-York, Vienne et Braga. 4e forum du 05 au 10 août 2001 à Dakar avec plus de 300 représentations d’organisation de jeunesse nationales, régionales, internationales, d’ONG, les Nations Unies ;
*Le dernier Sommet Panafricain « des jeunes leaders » du 27 au 30 juin 2004 à Dakar. Sommet sous l’égide des Nations Unies avec la participation de plus de 300 jeunes ;
*La Conférence « Jeunesse, Développement et Paix (The Second Youth, Development and Peace – YDP 2004) » du 05 au 07 septembre 2004 à Sarajevo sous l’égide de la Banque mondiale en partenariat avec European Youth Forum et World Organization of the Scoot Movement ;
*Le Séminaire de la Banque mondiale à des étudiants en Inde du 10 au 11 septembre 2004.
J’ai voulu citer ces quelques références pour mettre en exergue l’urgence et l’impératif d’intégrer les hommes et les femmes des générations émergentes que nous arriverons à résoudre duralogiquement l’extrême précarité en Afrique. Principalement, j’insiste sur les trois derniers points parce que le droit au développement et les droits humains doivent profiter à tous les jeunes du monde entier sans distinction. Il faudrait une évaluation physique et une duralogie prospective dans le plus long terme pour la prise en charge des générations émergentes en Afrique. « Il est évident que les hommes politiques, les médias et l’opinion publique en général s’intéressent fort peu en général au long terme. (…) Penser le long terme (demande) un certain sens de la durée, non seulement de l’histoire humaine, mais encore de l’histoire de la Terre », disait Jacques Grinevald.
L’intégration des générations futures africaines dans les objectifs d’un développement durable et d’une croissance viable est une urgence qui interpelle tous les acteurs (institutions, organisations et individualités du secteur privé et de la société civile). D’ici les dix prochaines années, la plupart des fonctionnaires dans les Administrations africaines vont partir à la retraite. Aujourd’hui, les Etats Unis sont en train de réfléchir sur la Gestion durable des retraites, surtout avec la « génération baby boom » qui doit partir cette année à la retraite. Contrairement en Afrique subsaharienne où les mariages sont très précoces.
Il y a un dicton africain qui nous enseigne que « lorsqu’on joue du tam-tam devant un sourd-muet, il faut de temps en temps lui envoyer un coup sur le crâne. Sans quoi, il peut avoir le sentiment que vous faites des grimaces ».
For the Ragulating Competence
And the subsidiaries competences :
*Former President of Scientific Commission of the International Day of the Family 2004;
*Individual Activities of Patriotic Voluntary Program’s Initiator (IAPVP);
*Institutional Capacities Building Program’s Initiator (ICBProgram)*Líder-Actor de la Sociedad civil mondial
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