Droit de l’Hommisme et développement en Afrique Subsaharienne
M.Paul Wolfowitz, Futur Président de la Banque mondiale : « j’ai l’intention de rechercher dans le monde entier des talents pour doter la Banque d’une haute direction véritablement multinationale » (Réf : Jeunes Afrique l’Intelligent N°2308 du 03 au 09 avril 2005). Il est important de noter que, quelque soit l’appellation où l’on se trouve, les droits de la personne humaine sont universels et doivent être appropriés sans aucune discrimination quelle qu’elle soit, y compris d’ordre sexuel. C’est dommage qu’en Afrique subsaharienne, on ne tient pas assez compte du savoir-être qui est un élément fondamental de sortie de la précarité et de la vulnérabilité.
Droits de l’Homme, Droits Humains, Droits des Humains, Droits de l’ Hommisme, la quintessence demeure toujours le bien-être de la personne, de l’homme et de l’individu.
La Déclaration universelle des Droits de l’Homme et des Peuples, la Déclaration des Droits de l’Homme et des Citoyens et la révolution de 1789 sont des acquis de deux siècles de turbulences et souffrances cruelles pour la dignité humaine. Aujourd’hui, il y a des mutations sociales, économiques et politiques et il faudrait une nouvelle appropriation de tous ces acquis. Il faut une codification entre le pouvoir collectif et le pouvoir citoyen.
Qu’est-ce que le Droit de l’Hommisme ?
Si le Droit de l’Hommisme est uniquement une nouvelle appropriation millénaire des Droits de l’Homme. Alors, le Droit de l’Hommisme peut être utilisé positivement par l’africain pour éteindre les guerres civiles, la situation des Grands lacs, le Darfour, la Cote d’Ivoire, l’atteinte des OMD, le commerce équitable, les négociations de l’OMC, la réduction des investissements post-conflits et le coût des opérations de maintien de la paix… Pour cela les individus doivent être déterminés à améliorer leurs conditions de vie durablement. C’est les terminologies qui différent mais nous sommes toujours dans la didactique Droits de l’Homme. Le Droit de l’Hommisme, s’il est bien compris s’étend avec le partenariat éthique, civique et patriotique, d’échanges humanitaires et de coopérations soutenables.
Aujourd’hui, l’ONU est en train d’examiner les droits des populations autochtones parce qu’ils ne sont pas une spécificité mais une partie du tout c’est-à-dire les Droits de l’Homme et le monde dans sa globalité. Les jeunes leaders africains et entrepreneurs africains doivent envisager l’essor de l’Afrique comme un engagement personnel.
De fait, le dialogue demeurera toujours le meilleurs moyen pour une paix durable et un développement soutenable. Il est important aujourd’hui de voir de jeunes étudiants africains faire des recherches sur « l’analyse interdiscursive des transferts et des formes de perceptions de l’Afrique dans le contexte Germano-Africain de l’entre deux guerres (1919-1945) ». L’exemple de l’Afrique du sud qui vient de voter une loi sur le Black Economic Empowerment (BEE) qui est un droit de l’hommisme pour les noirs mais aussi une redistribution équitable de la croissance, la reconnaissance de l’esclavage comme un crime contre l’humanité, l’indemnisation des biens juifs… Il y a une interaction entre l’Afrique, la mondialisation et le droit au développement. On ne peut régler les problème de développement durable en restant une communauté singularisée ou un groupe typicalisé.
Comme nous avons commencé, M.Paul D. Wolfowitz, le secrétaire américain adjoint à la défense, qui prendra le 1er Juin 2005 ses nouvelles fonctions à la Banque mondiale, réservera à l’Afrique son premier déplacement à l’étranger. C’est ce qu’il a confié à Oumar Kabbaj, le Président de la BAD, au cours d’un entretien de 45 minutes.
En guise d’illustration, Bonaparte disait : « On ne conduit le peuple qu’en lui montrant un avenir : un chef est un marchand d’espérance.»
Nous rendons un grand hommage à notre ami militant des Droits de l’Homme, Fonctionnaire de l’Organisation des Nations Unies (ONU), tué en Irak, le défunt Sergio de Mello. Depuis plus de 50 ans, cette Organisation (ONU) a servi l’humanité et nous souhaitons que la Réforme du SNU qui sera présentée en septembre 2005 puisse être un levier pour le Développement Durable de l’Afrique.
The Subsidiary Competence :
Expert / Human Rights’Promotion
Droits de l’Homme, Droits Humains, Droits des Humains, Droits de l’ Hommisme, la quintessence demeure toujours le bien-être de la personne, de l’homme et de l’individu.
La Déclaration universelle des Droits de l’Homme et des Peuples, la Déclaration des Droits de l’Homme et des Citoyens et la révolution de 1789 sont des acquis de deux siècles de turbulences et souffrances cruelles pour la dignité humaine. Aujourd’hui, il y a des mutations sociales, économiques et politiques et il faudrait une nouvelle appropriation de tous ces acquis. Il faut une codification entre le pouvoir collectif et le pouvoir citoyen.
Qu’est-ce que le Droit de l’Hommisme ?
Si le Droit de l’Hommisme est uniquement une nouvelle appropriation millénaire des Droits de l’Homme. Alors, le Droit de l’Hommisme peut être utilisé positivement par l’africain pour éteindre les guerres civiles, la situation des Grands lacs, le Darfour, la Cote d’Ivoire, l’atteinte des OMD, le commerce équitable, les négociations de l’OMC, la réduction des investissements post-conflits et le coût des opérations de maintien de la paix… Pour cela les individus doivent être déterminés à améliorer leurs conditions de vie durablement. C’est les terminologies qui différent mais nous sommes toujours dans la didactique Droits de l’Homme. Le Droit de l’Hommisme, s’il est bien compris s’étend avec le partenariat éthique, civique et patriotique, d’échanges humanitaires et de coopérations soutenables.
Aujourd’hui, l’ONU est en train d’examiner les droits des populations autochtones parce qu’ils ne sont pas une spécificité mais une partie du tout c’est-à-dire les Droits de l’Homme et le monde dans sa globalité. Les jeunes leaders africains et entrepreneurs africains doivent envisager l’essor de l’Afrique comme un engagement personnel.
De fait, le dialogue demeurera toujours le meilleurs moyen pour une paix durable et un développement soutenable. Il est important aujourd’hui de voir de jeunes étudiants africains faire des recherches sur « l’analyse interdiscursive des transferts et des formes de perceptions de l’Afrique dans le contexte Germano-Africain de l’entre deux guerres (1919-1945) ». L’exemple de l’Afrique du sud qui vient de voter une loi sur le Black Economic Empowerment (BEE) qui est un droit de l’hommisme pour les noirs mais aussi une redistribution équitable de la croissance, la reconnaissance de l’esclavage comme un crime contre l’humanité, l’indemnisation des biens juifs… Il y a une interaction entre l’Afrique, la mondialisation et le droit au développement. On ne peut régler les problème de développement durable en restant une communauté singularisée ou un groupe typicalisé.
Comme nous avons commencé, M.Paul D. Wolfowitz, le secrétaire américain adjoint à la défense, qui prendra le 1er Juin 2005 ses nouvelles fonctions à la Banque mondiale, réservera à l’Afrique son premier déplacement à l’étranger. C’est ce qu’il a confié à Oumar Kabbaj, le Président de la BAD, au cours d’un entretien de 45 minutes.
En guise d’illustration, Bonaparte disait : « On ne conduit le peuple qu’en lui montrant un avenir : un chef est un marchand d’espérance.»
Nous rendons un grand hommage à notre ami militant des Droits de l’Homme, Fonctionnaire de l’Organisation des Nations Unies (ONU), tué en Irak, le défunt Sergio de Mello. Depuis plus de 50 ans, cette Organisation (ONU) a servi l’humanité et nous souhaitons que la Réforme du SNU qui sera présentée en septembre 2005 puisse être un levier pour le Développement Durable de l’Afrique.
The Subsidiary Competence :
Expert / Human Rights’Promotion
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