Les défis immenses pour l’Afrique de relever les compétences dans l’Administration, l’Exécution et le Management des Finances islamiques
Quel lobbying pour des finances islamiques durables en Afrique ?
Aujourd’hui, les finances islamiques, les finances arabes doivent impérativement soutenir la Croissance des pays africains. L’islam interdit les intérêts mais une Etude récente, a montre qu’ « avec la montée du baril du brut sur le plan international qui va atteindre les 200$ d’ici 2010, l’argent des propriétaires dans les pays du Golf et de l’OPEP est multiplié par huit ».
En effet, les Etats africains qui souffrent de la précarité et de la vulnérabilité, avec la Globalisation des marches internationaux, les Normes financières IFRS, les IDE, l’inflation exponentielle du pétrole, ont besoin plus que jamais de l’impact des services financiers islamiques pour combattre la pauvreté, la crise alimentaire, les changements climatiques, la crise énergétique etc.…
Quelles Stratégie durable pour l’intégration de compétences en Finances islamiques dans le marché africain ?
L’exemple de la MALAISIE, de donner des bourses et renforcer les capacités en Finances islamiques pour les différents acteurs de développement, pourrait beaucoup apporter une valeur ajoutée dans l’exécution du PSDA (Programme spécial pour le développement de l’Afrique) du Groupe de la Banque islamique de développement – Réf : Le Communiqué final de PUTRAJAYA de la dixième session de la Conférence islamique au Sommet (Session du savoir et de la moralité pour le progrès de la Oummah), PUTRAJAYA – MALAISIE, 20-21 CHABANE 1424 H , du 16au 17 Octobre 2003.
Le PSDA accordé à l’Afrique subsaharienne est doté de 02 milliards de dollar et concerne 06 secteurs prioritaires :
1) Agriculture et Sécurité alimentaire ;
2) Hydraulique et Hygiène publique ;
3) L’électricité ;
4) Infrastructures nationales et régionales ;
5) Education ;
6) Santé.
Quelle Evaluation d’impact à mener pour les investissements soutenables en Finances islamiques de l’Afrique ?
Actuellement, il faudrait :
* Une harmonisation et une adaptation des législations nationales et régionales pour intégrer les Finances islamiques ;
* Analyser les risques à court et moyen terme par rapport aux Finances classiques ;
* Revoir la rédaction de certaines dispositions réglementaires dans les micro finances comme la Loi PARMEC de l’UEMOA ;
* Produire une information financière islamique auprès du Public et des publics (Les CENTIF/ UEMOA, les institutions, les différentes composantes de la Société civile africaine, les Chambres de commerce …)
Mr Babacar NDIAYE
Consultant independent
DD/CES (Sustainable Development & Sustained economic growth)
Adresse: BP 37171 Dakar / SENEGAL
Aujourd’hui, les finances islamiques, les finances arabes doivent impérativement soutenir la Croissance des pays africains. L’islam interdit les intérêts mais une Etude récente, a montre qu’ « avec la montée du baril du brut sur le plan international qui va atteindre les 200$ d’ici 2010, l’argent des propriétaires dans les pays du Golf et de l’OPEP est multiplié par huit ».
En effet, les Etats africains qui souffrent de la précarité et de la vulnérabilité, avec la Globalisation des marches internationaux, les Normes financières IFRS, les IDE, l’inflation exponentielle du pétrole, ont besoin plus que jamais de l’impact des services financiers islamiques pour combattre la pauvreté, la crise alimentaire, les changements climatiques, la crise énergétique etc.…
Quelles Stratégie durable pour l’intégration de compétences en Finances islamiques dans le marché africain ?
L’exemple de la MALAISIE, de donner des bourses et renforcer les capacités en Finances islamiques pour les différents acteurs de développement, pourrait beaucoup apporter une valeur ajoutée dans l’exécution du PSDA (Programme spécial pour le développement de l’Afrique) du Groupe de la Banque islamique de développement – Réf : Le Communiqué final de PUTRAJAYA de la dixième session de la Conférence islamique au Sommet (Session du savoir et de la moralité pour le progrès de la Oummah), PUTRAJAYA – MALAISIE, 20-21 CHABANE 1424 H , du 16au 17 Octobre 2003.
Le PSDA accordé à l’Afrique subsaharienne est doté de 02 milliards de dollar et concerne 06 secteurs prioritaires :
1) Agriculture et Sécurité alimentaire ;
2) Hydraulique et Hygiène publique ;
3) L’électricité ;
4) Infrastructures nationales et régionales ;
5) Education ;
6) Santé.
Quelle Evaluation d’impact à mener pour les investissements soutenables en Finances islamiques de l’Afrique ?
Actuellement, il faudrait :
* Une harmonisation et une adaptation des législations nationales et régionales pour intégrer les Finances islamiques ;
* Analyser les risques à court et moyen terme par rapport aux Finances classiques ;
* Revoir la rédaction de certaines dispositions réglementaires dans les micro finances comme la Loi PARMEC de l’UEMOA ;
* Produire une information financière islamique auprès du Public et des publics (Les CENTIF/ UEMOA, les institutions, les différentes composantes de la Société civile africaine, les Chambres de commerce …)
Mr Babacar NDIAYE
Consultant independent
DD/CES (Sustainable Development & Sustained economic growth)
Adresse: BP 37171 Dakar / SENEGAL