CURRICULAMILENARA

J make operational researches, what appropriated educational system of formation and curriculum for the Sustainable Development and Sustained economic growth. At day, there is a new revolution with NTIC… This Millenium Curriculum is a whole of planned values, finalities, objectives and contents. It has the characteristics of Regulating Management.

Tuesday, June 21, 2005

Les Notes d'information

Le Document de référence ETUDES ET RECHERCHES ORGANISATIONNELLLES, mis en oeuvre depuis 1998,est établi de manière agrégée. Les notes d’information sont des liens désagrégés mais qui sont opérationnels par PEDAGOGIE OUVERTE. Dans l’approche curriculaire, on peut se référer sur les dires de Gallilée, il y a 363 ans : « On ne peut rien enseigner à autrui. On ne peut que l’aider à le découvrir lui-même ».

Ainsi, les notes d’information opérationnelles actuellement sont :
*Individual Activities of Patriotic Voluntary Program’s Initiator ;
*Institutional Capacities Building Program’s Initiator (ICBProgram);
*Initiatives Speech for the Sustained economic growth / Public Private Partnerships Program’s Initiator (IDG / PPP Program);
*Quelques repères stratégiques sur la courbe de représentation tectonique de la haute performance de l’effervescence constructive 1982-2000;
*La compétence exceptionnelle : Promoteur Economique et Entrepreneur (P.E.E) ;
*La taxonomie ou taximonie du Développement Durable ;
*Sur le Domaine d’activité principal : l’environnement et le Développement Durable pour une croissance économique soutenue dans l’objectif de réduire la pauvreté ;
*Note d’information : Biographical Values and Engagements ;
Sur la Sécurisation du schéma procédural et systémal du monitoring et du benchmarking.

C’est pourquoi, j’avais expliqué à de jeunes doctorants et post-doctorants d’accueillir avec beaucoup de réserves la communication d’un professeur et d’une haute personnalité de la francophonie sur le Développement Durable. Cette haute personnalité , autorité dans une structure de la francophonie, avançait dans sa communication au cour d’un colloque que : «le Développement Durable est un concept flou, mou et ambiguë ». La difficulté dans les universités francophones, c’est que les disciplines sont fermées, les contenus et les syllabus des enseignants ne sont pas flexibles. Sinon pourquoi le Point 7 des OMD recommande « d’intégrer les principes du Développement Durable dans toutes les politiques nationales » ?

Par exemple, j’ai assisté à un panel sous le thème « Gestion des Ressources Humaines (RH) : la création de valeur ajoutée » parrainé par le Directeur des RH d’une institution de l’UEMOA. Dans un dossier soumis à cette institution, j’y joins deux notes d’information. Des difficultés se sont manifestées parce que les responsables des RH ont des procédés classiques qui ne sont pas encore adaptés avec les compétences du Développement Durable. Alors que les notes d’information et même le CV opérationnel que je faisais accompagner mes activités vers le Groupe de la Banque mondiale, le PNUD, l’Afrique du Sud, le Nigeria, le Ghana, la Grande Bretagne, l’Australie, le Canada, le Japon et les Etats Unis sont favorablement appréciés.

En Afrique francophone, avec l’importance des projets à caractère PPP, il serait nécessaire de mettre en place un véritable programme de renforcement de compétences dans le Développement Durable en relation avec la Banque mondiale et le PNUD ( au delà de Capacités21 /PNUD).
NB : Pour la note d’information sur sécurisation du schéma procédural et systémal du monitoring et du benchmarking, je n’ai encore mis en place une docimologie appropriée pour expliquer la connotation mythologique.

The Regulating Competence :
Duralogue

Monday, June 06, 2005

Les quatre lettres du DSRP?

Il est important de rappeler que, c’est en 1973, que Robert S. McNamara, Président de la Banque mondiale à l’époque, avait annoncé « une intensification du combat en exigeant l’éradication de la pauvreté extrême avant la fin du 20e siécle… ». Aujourd’hui, l’omniprésence de la pauvreté absolue en Afrique subsaharienne n’est plus à démontrer.

Brièvement, je n’ai pas besoin de références pour comprendre la Pauvreté, la Précarité ou la Vulnérabilité. « L’expérience n’est pas ce qui arrive à un homme. C’est ce qu’un homme fait avec ce qui lui est arrivé », disait Aldous Huxley. Dans mon Document agrégé de Partenariats Stratégiques de 1998, intitulé ETUDES ET RECHERCHES ORGANISATIONNELLES- Concepts de base relatifs à la promotion économique et à l’entreprenariat dans l’optique de la qualité, j’ai toujours évité les termes de Pauvreté et de Développement Durable (DD). Et pourtant, de 1980 à 2000, des Plans d’Ajustement Structurel (PAS) au Rapport Brantland de 1987 sur le DD, de l’Initiative PPTE (Pays Pauvres Très Endettés) et des CSLP (Cadres Stratégiques de Luttes contre la Pauvreté), j’étais bien imprégné de ces questions.

Seulement, j’étais conscient d’une chose, on est parti de la Grande Pauvreté (P) pour établir les DSRP (Documents de Stratégie de Réduction de la Pauvreté) et en finalité, nous retrouverons la Grande Pauvreté (P). Dans mon Document de Partenariats Stratégiques , j’ai essayé avec HOMOSCEDASTICITE et HETEROSCEDASTICITE à étudier la Pauvreté P en utilisant les indices Po, P1 P2 , P 3 , l’indice de Tobbec, l’indice de Gini mais je n’ai connu que des échecs. C’est par d’autres procédés que j’ai pu régler la problématique.

Dans le DD, il y a des préalables. Il faut d’abord régler le problème du Développement tout court, ensuite le DD, et en dernier lieu la Croissance économique soutenue. Sur les quatre (04) lettres des DSRP, si vous regardez bien le D a déjà sauté, on parle maintenant de SRP (Stratégie de Réduction de la Pauvreté). Ainsi, au fur et à mesure qu’on avance vers l’Objectif 2015, le S va suivre, le R et on se retrouvera avec le P. ( Cf : Rapport sur le Développement dans le Monde 2000/2001 de la Banque mondiale « Attacking Poverty »)

J’ai eu l’opportunité d’échanger avec Jeffrey Sachs, Expert des Nations Unies et Envoyé Spécial du Secrétaire Général de l’ONU, conduisant la Mission du Millenium Project pour réaliser les ODM (Objectifs de Développement pour le Millénaire) lors de son passage à Dakar du 10 au 11 février 2004. La réalité en Afrique subsaharienne, l’objectif d’atteindre les ODM demeure vaine puisqu’on parle d’Extrême Pauvreté actuellement.

En définitive, je cite en guise d’exemple, les propos d’un éducateur en Colombie dans le Rapport du PNUD de 1997 : « La pauvreté est criminelle parce qu’elle ne permet pas aux individus d’être des individus. C’est la négation la plus cruelle de notre essence commune d’être humains. ». De mon point de vue, avec l’Extrême Pauvreté en Afrique subsaharienne, il serait important de démotiver ce genre de position aux citoyens bénéficiaires. Ce genre de position constitue une forme de renoncement à votre humanité malgré les efforts soutenables que la communauté internationale entreprenne pour éradiquer ce phénomène de la Pauvreté.

The Subsidiary Competence :
Actor of the Modern Civil Society

Friday, June 03, 2005

The Babacar1ndiaye Model: inédit, authentique et exceptionnel


The Babacar1ndipaye Model is a process and no an event.
Dans le laboratoire de Compétences, le processus est résumé ainsi:
EtapeI : de l’ADN Competence Principal à l’ARN Emerging Competences ;
Etape II : de la traduction de l’ARN (synthèse, transition, finition, exportation) ;
Etape III : la valorisation dans le Regulating Competence DURALOGUE.
« We want help that helps us to get rid of help » said Sékou Touré.

En 1993, j’étais A Former Young Leader. Voulant mettre en place une idée de projet à caractère PPP (Public Private Partnerships), tous les cabinets et experts consultés me demandaient entre 200.000 et 500.000 FCFA, en plus des difficultés de l’environnement du climat d’investissement. Deuxième possibilité, remplir le dossier d’inscription dans une université américaine pour apprendre les PPP. Convoqué, à une séance d’explication de 02 heures avec les conseillers en éducation de l’Ambassade des Etats Unis, le coût et le parcours extrêmement démotivant à la recherche d’une bourse étaient ???. Troisième possibilité, user de mes facultés universitaires pour pratiquer l’approche PPP à une dimension individuelle. Et je n’ai pas regretté cette troisième option .

En août 1993, la Banque mondiale venait d’approuver le Projet des Centres d’Information Publics (PICs). Le Projet PICs s’était attaché à mettre à la disposition d’un public toujours plus large, de larges données opérationnelles qui n’étaient accessibles qu’à des utilisateurs officiels.

Lancé aussi en 1995, le Programme InfoDév (Information Développement) de la Banque mondiale s’était attaché à encourager les partenariats entre la Banque mondiale, les gouvernements, le secteur privé et la société civile.

En 2002, Mme Frannie A. Leautier, prenant fonction en tant que Vice-Président du World Bank Institute déclarait : “I am passionate about development and its global benefits. J came to the bank from academia, so I am also devoted to the power of knowledge and leaning which are critical to achieving the development goals in the 21st century. We can best building capacity by creating the enabling environments in wich local knowledge inform action and influence change.” (Réf: Spring 2002-WBI news)

Impliqué dans les réflexions sur le développement durable et la croissance économique soutenue, nous sommes partis de toutes ses considérations pour renforcer nos compétences. Mais il y a un grand écart entre les idées émises dans les Projets et Programmes de développement soutenables et la Phase de l’opérationalisation. Deux crises convergentes affectent le Millennium Youth . En premier lieu, les rapports entre les autres générations et l’environnement (crises évidentes). En second lieu, le sujet jeune et l’interdépendance avec lui-même et ensuite ses projections sociétales constituées par les institutions étatiques et non étatiques, le droit étatique et non étatique, ses jeunismes idéologiques, son entourage endogène et ensuite sa passion en tant que citoyen du monde (crises moins visibles mais tout aussi préoccupantes).

Nous avons voulu faire des recherches sur les DTS et la Pauvreté parce que l’émigration économique touche surtout la tranche d’âge entre 20 et 40 ans en Afrique subsaharienne. Il y a des fils africains du diaspora qui pourraient être incités à investir dans les initiatives humanitaires. Les Etats africains doivent mettre des mécanismes d’incitation dans ce sens. Ce qui permettra de limiter les sorties de devises et de rapatrier les milliards de Francs des africains qui dorment dans les banques du Nord. Comme l’avait dit, ce message lancé par les institutions de Bretton Woods : « La lutte contre la pauvreté doit être menée de pair avec les réformes économiques », le 28/09/1999 à l’ouverture de leur Assemblée Annuelle dont le thème « Réforme et humanisation de l’économie ».

Nous avons mis en place ces contenues pour partager notre expérience sur la culture entrepreneuriale qu’on veut inculper en Afrique surtout dans les universités. Il y a des exemples que les africains, en premier lieu, pour leur propre développement, doivent s’en approprier. Au Canada, chaque année, il y a un prix d’encouragement de 100,000 $ pour le meilleur entrepreneur.
En Afrique subsaharienne, on a toujours le système pyramidal classique où les décisions viennent strictement au sommet et qu’en bas, c’est l’exécution. On n’en vient souvent à élaborer des projets, programmes et investissements soutenables de développement sans consulter les jeunes promoteurs et entrepreneurs pauvres auxquels ils s’adressent. Pourquoi en Afrique le chômage frappe surtout les jeunes licenciés, doctorants et post-doctorants ? Entre un bachelier, un doctorant et un post-doctorant qui viennent chercher un stage dans une entreprise, qui est le plus ambitieux ? Un doctorant en Gestion de l’espace rural est venu chercher un emploi de niveau bac dans une entreprise, est-il ambitieux ? Malgré la forte demande en Agriculture durable, pourquoi ce doctorant, malgré sa formation pointue en Gestion de l’espace rural, ne peut s’y insérer ? Préfère t-il rester en espace urbain ou en espace rural ?
Il faut comprendre d’abord les paradoxes compétenciels du millénaire pour résoudre ses interrogations. En Afrique, la crise du Système éducatif et des problèmes de renforcement de capacités sont au cœur des préoccupations sociales. Les solutions doivent être d’une approche holistique.

En définitive, j’essayerais toujours de mettre en place des indicateurs qui permettront à tous les jeunes, sans distinction de provenance, de tirer le maximum de profit du Babacar1ndiaye Model, de 1980 à 2000. Retenons que Babacar1ndiaye Model est inédit, exceptionnel et original. En mathématique, vous avez appris les cas exceptionnels. Il a fallu dix (10) ans d’échec pour mettre en place THE PRINCIPAL COMPETENCE.

For the Principal Administrator
and by delegationThe subsidiary Competence : Teaching- Reseacher